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Je regarde s’enfuir en ronde ridicule,
Ce temps toujours perdu, qui court dans la pendule.
Et, dérive en ces heures, blêmes, qui m’emportent,
En chanson de l’automne que Verlaine m’apporte.

Dehors s’éteint le jour, sous des nuages denses.
Un froid bleu vient, m’entoure, d’un voile d’évidence ;
Il pèse un peu plus lourd sur mon corps fatigué,
Dont mon cœur peine à battre, à vouloir l’irriguer.

Dans le silence épais où s’éteignent les choses,
Ne reste que la nuit, et demain, je suppose
Que tournera encore, au mur, dans la pendule,
Ce temps dont je n’aurais été qu’une virgule.

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